De la même famille que le Zébu africain, cette race de bovidé fut une des premières domestiquées, il y a déjà 3000 ans.

Elle n’a pas la bosse du zébu mais la vache watusi est remarquable surtout par ses énormes cornes qui peuvent avoir chacune, à leur base, une circonférence de 50 cm et une longueur record de 1m50 ! Cela fait au total une fameuse « envergure » !

C’est une race résistante à de nombreuses maladies du bétail et peu exigeante en nourriture ; elle peut survivre à la sécheresse et constitue donc, avec des races cousines (Borane, Nguni...) un élément essentiel de subsistance pour de nombreuses tribus de l’Afrique de l’Est, au Rwanda, au Burundi, au Kenya et en Tanzanie.

Certaines tribus boivent, pour se nourrir, non seulement son lait mais aussi son sang, prélevé par une petite entaille dans une veine du cou, sans risque pour la vie de cette vache qui est la richesse et la fierté de son propriétaire.

(Source:pairidaiza.eu)

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Le nom de babiroussa signifie « cochon-chevreuil » en malais.

Endémique des îles indonésiennes, on le retrouve communément au cœur des jungles de l'île de Sulawesi, considérée comme son véritable berceau, ainsi que sur les îles Bourou et de Malado.

(Source: nationalgeographic.fr)

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Le mâle a deux paires de défenses, qui traversent son groin et se recourbent à travers son crâne.

Elles peuvent atteindre 30 cm.

Ces défenses sont probablement à l’origine de son nom qui provient du malais « babi » (« porc ») et « rusa » (« cerf »).

Dans la nature, la population sauvage est estimée à environ 4 000 individus, répartis dans plusieurs îles.

L’exploitation forestière et l’agriculture sont les principales menaces pour cette espèce.

Elle continue d’être chassée pour sa viande à certains endroits par les communautés locales.

Pour les sauver, les parcs zoologiques travaillent ensemble.

Ils ont créé les programmes d’élevage du babiroussa pour mieux le gérer et notamment éviter la consanguinité.

(Source:cerza.com)

La Girafe, animal terrestre le plus grand du monde, est la seule à pouvoir se nourrir des feuilles d’acacia, arbre emblématique des savanes. Les muqueuses épaisses de sa bouche la rendent insensible aux longues épines de cet arbre qu’elle affectionne tant !

Parce qu’elle est belle et grande, elle a toujours été l’objet de tueries, ce qui a failli la conduire à l’extinction. Les poils de sa queue sont notamment très recherchés pour la confection de bracelets destinés aux touristes.

Le seul moyen dont dispose un mâle pour s’assurer de la réceptivité d’une femelle est de goûter son urine. Hmm… !

(Source:cerza.com)

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Les loutres asiatiques utilisent leurs pattes antérieures pour capturer leurs proies.

Leur dentition est quant à elle, parfaitement adaptée au broyage de la carapace des crustacés dont elles raffolent.

La perte de son habitat, la pollution qui empoisonne ses proies et le braconnage ont fait diminuer la population de la loutre asiatique de plus de 30% ces 30 dernières années.

Le “Otter Specialist Group” rattaché à l’Union Internationale pour la Conservation de la Nature sensibilise les populations locales à la protection de la loutre et des milieux humides.

(Source: cerza.com)

Le Rhinocéros blanc est le plus sociable de tous les Rhinocéros.

Les hardes sont souvent composées des femelles, de leurs petits et de jeunes mâles.

Les mâles matures sont quant à eux solitaires.

En Afrique, le Pique-Bœuf est un oiseau très utile au Rhinocéros.

En se nourrissant des parasites du mastodonte, cet oiseau le soulage des démangeaisons !

Au Yémen, tous les hommes « dignes de ce nom » doivent posséder un poignard au pommeau en corne de Rhinocéros. Une coutume de plus qui contribue à la disparition de ces animaux !

(Source:cerza.com)

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